La Tribune, fer de lance de la lepénisation des esprits
Agissons pour bloquer définitivement la Tribune
L’action citoyenne des grévistes pour bloquer la diffusion du journal doit donc être soutenue. L’objectif doit être d’empêcher la diffusion de ce torchon semeur de haine sur une très longue période pour que le journal mette la clé sous la porte. Cela démontrera de façon irréfutable que le libéralisme conduit à la faillite.
La Tribune, journal anti-démocratique
La Tribune est pour le CPE et toutes sortes de mesures favorisant la précarité. Contre l’avis du peuple qui lui est contre. La Tribune s’oppose donc au peuple. La Tribune a donc choisi son camp, celui du refus de la démocratie.
L’influence de ce courant de pensée libérale est redoutable. Regardez avec quelle rapidité le mouvement anti-précarité a disparu alors même que la précarité demeure. Avec cet arrêt, le chacun pour soi économique sort renforcé et le MEDEF peut à juste titre crier victoire.
Les blocages ne doivent pas s’arrêter tant qu’il y aura des gens qui se sentent victimes d’injustice sociale, qui ont des revenus ne leur permettant pas de vivre dignement ou qui sont dans une situation précaire. Continuons la lutte!
La Tribune, journal du terrorisme intellectuel
Evidemment, la Tribune dénonce la grève de la faim d’un député. Evidemment elle ne dit rien sur la grève de la faim imposée à l’Afrique. La grève de la faim du député avait avant tout un objectif électorale, inutile de le préciser. Mais elle a néanmoins permis de montrer qu’il n’y a pas de fatalité, seulement une manque flagrant de détermination. Si le gouvernement et le Président de la République se mettaient en grève de la faim contre les délocalisations, nul doute qu’aucune entreprise ne quitterait la France et qu’elle seraient nombreuses à venir investir dans un pays à la pointe d’une conception moderne du dialogue sociale et de la vie économique.
La Tribune et tous ses petits copains extrémistes
La liberté de la presse est un droit fondamental pour lequel nous devrons toujours combattre. Comme le dit si bien M. Stéphane Pocrain, « je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai pour que vous puissiez vous exprimer ». Aujourd’hui la liberté de la presse est mise à mal par des journaux qui l’instrumentalise à des fins idéologiques. Refusons l’esprit munichois et ayons le courage de nous battre pour la liberté d’expression en bloquant les journaux contrevenants. Dans les jours qui viennent nous devrons répartir les journaux selon les catégories établies par M. Gérard Miller. Quand cela sera fait, nous pourrons légitimement agir pour sauvegarder la liberté d'expression en interdisant les journaux qui ne la respectent pas.