La Tribune, fer de lance de la lepénisation des esprits
M. Gérard Miller, l’un des plus brillants esprits de ce début du XXIème siècle, lui aussi libre penseur militant, distingue trois types de médias: les respectables, les abrutisseurs et les lepénisateurs d’esprits. La Tribune, fer de lance de la lepénisation économique des esprits, fait indiscutablement parti de cette troisième catégorie. Vouée au culte de l’ultralibéralisme sauvage et chantre de la haine d’une société solidaire, tout en elle a un relent nauséabond qui n’est pas sans rappeler les heures sombres de notre histoire.
Agissons pour bloquer définitivement la Tribune
L’action citoyenne des grévistes pour bloquer la diffusion du journal doit donc être soutenue. L’objectif doit être d’empêcher la diffusion de ce torchon semeur de haine sur une très longue période pour que le journal mette la clé sous la porte. Cela démontrera de façon irréfutable que le libéralisme conduit à la faillite.
La Tribune, journal anti-démocratique
La Tribune est pour le CPE et toutes sortes de mesures favorisant la précarité. Contre l’avis du peuple qui lui est contre. La Tribune s’oppose donc au peuple. La Tribune a donc choisi son camp, celui du refus de la démocratie.
L’influence de ce courant de pensée libérale est redoutable. Regardez avec quelle rapidité le mouvement anti-précarité a disparu alors même que la précarité demeure. Avec cet arrêt, le chacun pour soi économique sort renforcé et le MEDEF peut à juste titre crier victoire.
Les blocages ne doivent pas s’arrêter tant qu’il y aura des gens qui se sentent victimes d’injustice sociale, qui ont des revenus ne leur permettant pas de vivre dignement ou qui sont dans une situation précaire. Continuons la lutte!
La Tribune, journal du terrorisme intellectuel
Evidemment, la Tribune dénonce la grève de la faim d’un député. Evidemment elle ne dit rien sur la grève de la faim imposée à l’Afrique. La grève de la faim du député avait avant tout un objectif électorale, inutile de le préciser. Mais elle a néanmoins permis de montrer qu’il n’y a pas de fatalité, seulement une manque flagrant de détermination. Si le gouvernement et le Président de la République se mettaient en grève de la faim contre les délocalisations, nul doute qu’aucune entreprise ne quitterait la France et qu’elle seraient nombreuses à venir investir dans un pays à la pointe d’une conception moderne du dialogue sociale et de la vie économique.
La Tribune et tous ses petits copains extrémistes
La liberté de la presse est un droit fondamental pour lequel nous devrons toujours combattre. Comme le dit si bien M. Stéphane Pocrain, « je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai pour que vous puissiez vous exprimer ». Aujourd’hui la liberté de la presse est mise à mal par des journaux qui l’instrumentalise à des fins idéologiques. Refusons l’esprit munichois et ayons le courage de nous battre pour la liberté d’expression en bloquant les journaux contrevenants. Dans les jours qui viennent nous devrons répartir les journaux selon les catégories établies par M. Gérard Miller. Quand cela sera fait, nous pourrons légitimement agir pour sauvegarder la liberté d'expression en interdisant les journaux qui ne la respectent pas.
Agissons pour bloquer définitivement la Tribune
L’action citoyenne des grévistes pour bloquer la diffusion du journal doit donc être soutenue. L’objectif doit être d’empêcher la diffusion de ce torchon semeur de haine sur une très longue période pour que le journal mette la clé sous la porte. Cela démontrera de façon irréfutable que le libéralisme conduit à la faillite.
La Tribune, journal anti-démocratique
La Tribune est pour le CPE et toutes sortes de mesures favorisant la précarité. Contre l’avis du peuple qui lui est contre. La Tribune s’oppose donc au peuple. La Tribune a donc choisi son camp, celui du refus de la démocratie.
L’influence de ce courant de pensée libérale est redoutable. Regardez avec quelle rapidité le mouvement anti-précarité a disparu alors même que la précarité demeure. Avec cet arrêt, le chacun pour soi économique sort renforcé et le MEDEF peut à juste titre crier victoire.
Les blocages ne doivent pas s’arrêter tant qu’il y aura des gens qui se sentent victimes d’injustice sociale, qui ont des revenus ne leur permettant pas de vivre dignement ou qui sont dans une situation précaire. Continuons la lutte!
La Tribune, journal du terrorisme intellectuel
Evidemment, la Tribune dénonce la grève de la faim d’un député. Evidemment elle ne dit rien sur la grève de la faim imposée à l’Afrique. La grève de la faim du député avait avant tout un objectif électorale, inutile de le préciser. Mais elle a néanmoins permis de montrer qu’il n’y a pas de fatalité, seulement une manque flagrant de détermination. Si le gouvernement et le Président de la République se mettaient en grève de la faim contre les délocalisations, nul doute qu’aucune entreprise ne quitterait la France et qu’elle seraient nombreuses à venir investir dans un pays à la pointe d’une conception moderne du dialogue sociale et de la vie économique.
La Tribune et tous ses petits copains extrémistes
La liberté de la presse est un droit fondamental pour lequel nous devrons toujours combattre. Comme le dit si bien M. Stéphane Pocrain, « je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai pour que vous puissiez vous exprimer ». Aujourd’hui la liberté de la presse est mise à mal par des journaux qui l’instrumentalise à des fins idéologiques. Refusons l’esprit munichois et ayons le courage de nous battre pour la liberté d’expression en bloquant les journaux contrevenants. Dans les jours qui viennent nous devrons répartir les journaux selon les catégories établies par M. Gérard Miller. Quand cela sera fait, nous pourrons légitimement agir pour sauvegarder la liberté d'expression en interdisant les journaux qui ne la respectent pas.
3 Comments:
Samedi dernier, le métro parisien grouille comme à l'accoutumée de blacks, beurs et autres CPF...
Derrière moi, un groupe de 3 afros ; 2 lookés à la CPF française et le 3ème complètement vêtu par des oripeaux tendance afro-américano-jamaïcain...
Je lis tranquillement mon journal mais leur braillement m'obligent à écouter leurs propos indigents.
Je commence tout de même à m'intéresser lorsque l'un d'eux affirme à peu près ces paroles exactes :
- "Ouais ouais de toute façon dis toi je vais aller la pécho avec la BM elle pourra rien me refuser"
Le dialogue se prolonge :
- Ouais c'est la blanche qui me plaisait
- Vas-y faut lui faire la totale, c'est une bitch.
- t'inquiète pas je vais lui faire à la "black dick in whites chicks" !
- Vas-y et moi ?
- Tu passes après t'inquiètes ! Les Blanches c'est "once you go black you never go black" ! Elle en redemendera !
Des rires pervers clôturent ces débats abjects. Ebahi de voir avec quelle impudeur ces... gars évoquaient leur vie sexuelle (Allah serait pas content), je n'en restais pas moins interloqué par les affirmations en anglais que j'avais entendu.
Connaissant bien cette langue, j'avais bien compris que ces expressions étaient de caractère sexuel et vraisemblablement outrancier.
Je voulais savoir sur quoi elles reposaient. En rentrant chez moi, je découvre que "Whites chicks for black dicks" et "Once you go black..." sont en fait des labels de films pornographiques américains !
Le credo est simple, de superbes femmes blanches sont offertes et soumises à des hommes exclusivement noirs !
En poussant un peu plus loin mes recherches, j'apprends que cette industrie porno US joue sciemment de clichés racistes montrant des femmes blanches soumises et débauchées uniquement à des hommes noirs. Je constate même que la perversité pousse parfois à ce qu'un homme blanc se retrouve dans les scènes pornographiques ou il joue le mari cocufié, le plus souvent réduit à l'impuissance et même parfois enchaîné et emprisonné pendant les ébats de la femme blanche et des son ou ses amants !
Je suis atterré d'autant plus que j'apprends finalement que ce marché est en pleine expansion aux USA (quand ces perversions débarqueront-elles chez nous ?) et que la majorité des producteurs de ces films racistes sont des blancs même si les noirs eux même d'avoir "leur blanche" dans "leur production" !
C'est hallucinant jusqu'ou ils sont prêt à aller pour gagner de l'argent !
J'ai alors compris les débats pornographiques de la matinée dans le métro. Les CPFf, qui ont désormais libre accès à l'internet dans leur HLM peuvent se procurer ces vidéos racistes à leur guise.
L'effet produit est catastrophique.
Dans quel monde vivons-nous ?
By Anonyme, at samedi, 29 avril, 2006
Cette histoire est scandalisante !
Oser réduire les femmes à de vulgaires greluches uniquement intéressées par de belles voitures... on se croirait revenus 40 ans en arrière !
By Anonyme, at lundi, 01 mai, 2006
"Le credo est simple, de superbes femmes blanches sont offertes et soumises à des hommes exclusivement noirs !"
le mot 'Credo' est bien choisi, car il s'agit en realite de films d'evangelisation laique et de spiritualite, qui essaye d'ouvrir l'esprit des gaulois degeneres a la tolerance et a l'amitie entre les peuples.
Et apres tout, les faces-de-craie femelles ont bien de la chance, non ? D'ailleurs, elles en redemandent.
"la majorité des producteurs de ces films CULTURELS (pas racistes) sont des blancs"
Oui, mais pas n'importe quel Blancs. De bons Blancs. Il y en a. On les reconnait au fait qu'ils ne sont pas chretiens.
By Anonyme, at mardi, 22 août, 2006
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