La Coupe du monde de l'africanophobie
Que retenir de cette coupe du monde ?
Tout d’abord, l’inébranlable volonté d’éliminer toutes les équipes africaines. Seul le Ghana a atteint les quarts de finale. Il fallait finir le boulot: on mit en face du Ghana le Brésil. Et voilà comment la dernière équipe véritablement métissée fut volontairement sortie du tournoi. Ignoble racisme. Pourquoi ne pas généraliser le concept citoyen de discrimination positive au football ? On imagine très bien que l’Afrique pourrait se voir garantir une place en demi-finale ou en demie finale.
Ensuite, la France a éliminé l’Espagne. Cette victoire n’était pas une simple victoire. Non, ce match était un combat entre un pays ouvert à l’autre et une sélection où l’unicité ethnico-religieuse est la règle. Une équipe porte étendard d’une naSSion d’intégristes catholiques, de franquistes, de rois catholiques antisémites, d’inquisiteurs, de ratonneur d’ouvriers marocains, de partisans de l’invasion irakienne, d’ardents défenseurs du choc des civilisations. Face à cela: notre France métissée, plus forte de ses différences, multilatéraliste, multiculturelle, multiethnique, unie dans sa diversité.
Que retiendra l’histoire? L’Espagne est fille du génocide des musulmans de la péninsule ibérique. En éliminant ce pays, Zinédine Zidane a honoré la mémoire des millions d’arabo-musulmans massacrés et a renvoyé ce pays de fanatiques aux poubelles de l’histoire. Bon débarras.
Tout d’abord, l’inébranlable volonté d’éliminer toutes les équipes africaines. Seul le Ghana a atteint les quarts de finale. Il fallait finir le boulot: on mit en face du Ghana le Brésil. Et voilà comment la dernière équipe véritablement métissée fut volontairement sortie du tournoi. Ignoble racisme. Pourquoi ne pas généraliser le concept citoyen de discrimination positive au football ? On imagine très bien que l’Afrique pourrait se voir garantir une place en demi-finale ou en demie finale.
Ensuite, la France a éliminé l’Espagne. Cette victoire n’était pas une simple victoire. Non, ce match était un combat entre un pays ouvert à l’autre et une sélection où l’unicité ethnico-religieuse est la règle. Une équipe porte étendard d’une naSSion d’intégristes catholiques, de franquistes, de rois catholiques antisémites, d’inquisiteurs, de ratonneur d’ouvriers marocains, de partisans de l’invasion irakienne, d’ardents défenseurs du choc des civilisations. Face à cela: notre France métissée, plus forte de ses différences, multilatéraliste, multiculturelle, multiethnique, unie dans sa diversité.
Que retiendra l’histoire? L’Espagne est fille du génocide des musulmans de la péninsule ibérique. En éliminant ce pays, Zinédine Zidane a honoré la mémoire des millions d’arabo-musulmans massacrés et a renvoyé ce pays de fanatiques aux poubelles de l’histoire. Bon débarras.